Du “temps qu’il fait” au temps vécu à la Renaissance : Nature, traces, et textes
DOI:
https://doi.org/10.14195/1645-2259_18_18Resumo
Nous examinons quelques textes, principalement du XVIe siècle, d’auteurs et de genres différents, portant sur l’expérience vécue des faits de nature, en particulier, des événements météorologiques. Nous envisageons les formes et les affects par lesquels ces textes consignaient à la mémoire l’expérience quotidienne des intempéries, ou du « temps qu’il fait ». La proximité et l’engagement avec l’environnement naturel, marqué par le temps, sont une autre dimension de cette recherche. La prédiction du temps climatique restant surtout l’apanage des croyances populaires et des pratiques liturgiques, nos textes, sans appartenir aux genres scientifiques reconnus, se placent entre ces deux pôles et font entendre des voix originales concernant le rapport à la nature.
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